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Lycéens et apprentis au spectacle vivant
La 1ère 1 STMG participe cette année au dispositif « Lycéens et apprentis au spectacle vivant » avec le soutien du Conseil Régional BFC, de la DRAC BFC, de la Région académique BFC et de Côté Cour, scène conventionnée Art, Enfance, Jeunesse.
Laughton
Mardi 26 novembre 2024, nous sommes allés à la Minoterie voir le spectacle de « Laughton », texte de Stéphane Jaubertie, mis en scène par Emilie Lerouxmis.
Comment le spectacle Laugthton exprime-t-il un malaise familial ?
Tout d’abord, on constate que le malaise familial est exprimé par la présence d’un espace vide. En effet, la scénographie est divisée en deux parties. Dans la première, nous voyons un cercle vide composé de six plateformes voutées qui semblent sortir du sol et qui représente l’espace familial dans lequel s’inscrit le quotidien de la famille de Laughton. Dans une seconde, nous avons une sorte de couloir dans lequel seules deux balançoires se font face. Il s’agit de l’espace social qui est extérieur à la maison. Laughton y évolue avec Vivi une jeune fille de son âge. Ces espaces assez vides ont une portée symbolique qui permet d’exprimer une atmosphère de malaise.
© Jessica Calvo Ensuite, malgré l’absence de décor, on constate tout de même la présence de quelques accessoires notamment des feuilles blanches qui tapissent le sol. Ces feuilles représentent les feuilles mortes de l’automne quand l’ours les balaie et elles représentent les feuillets d’écriture quand on voit la mère. Quand on voit l’ours balayer les feuilles ou quand on voit la mère en train d’écrire, on a l’impression qu’ils n’arrivent pas à communiquer ensemble et qu’ils ont trouvé ces activités pour combler le vide de leur existence.
Enfin, la présence d’une bande sonore qui réagit en fonction des émotions des personnages permet de matérialiser « les tempêtes intérieures » qui agissent en même temps que les feuilles qui s’envolent. Ces moments permettent de comprendre la grande agitation qui anime les personnages à certains moments de la pièce. [Extraits des travaux des élèves]
© Jessica Calvo Figaro-ci, Figaro-là
Vendredi 6 décembre, le lycée a accueilli « Figaro-ci, Figaro-là », petite forme issue de la pièce Le mariage de Figaro de Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais, mise en scène : Leyla-Claire Rabih.
La scène d’exposition du Mariage de Figaro a jouée de trois manières différentes. La classe a ensuite rencontré l’équipe artistique à l’issue du spectacle.
Extraits des travaux des élèves dans une prochaine édition.
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LA VIE CULTURELLE AU LYCÉE LIÉGEARD
La 1ère 1 STMG participe cette année au dispositif “Lycéens et apprentis au spectacle vivant” avec le soutien du Conseil Régional BFC, de la DRAC BFC, de la Région académique BFC et de Côté Cour, scène conventionnée Art, Enfance, Jeunesse.
Laughton
Mardi 26 novembre 2024, nous sommes allés à la Minoterie voir le spectacle de “Laughton”, texte de Stéphane Jaubertie, mis en scène par Emilie Lerouxmis.
Comment le spectacle Laugthton exprime-t-il un malaise familial ?
Tout d’abord, on constate que le malaise familial est exprimé par la présence d’un espace vide. En effet, la scénographie est divisée en deux parties. Dans la première, nous voyons un cercle vide composé de six plateformes voutées qui semblent sortir du sol et qui représente l’espace familial dans lequel s’inscrit le quotidien de la famille de Laughton. Dans une seconde, nous avons une sorte de couloir dans lequel seules deux balançoires se font face. Il s’agit de l’espace social qui est extérieur à la maison. Laughton y évolue avec Vivi une jeune fille de son âge. Ces espaces assez vides ont une portée symbolique qui permet d’exprimer une atmosphère de malaise.
© Jessica Calvo Ensuite, malgré l’absence de décor, on constate tout de même la présence de quelques accessoires notamment des feuilles blanches qui tapissent le sol. Ces feuilles représentent les feuilles mortes de l’automne quand l’ours les balaie et elles représentent les feuillets d’écriture quand on voit la mère. Quand on voit l’ours balayer les feuilles ou quand on voit la mère en train d’écrire, on a l’impression qu’ils n’arrivent pas à communiquer ensemble et qu’ils ont trouvé ces activités pour combler le vide de leur existence.
Enfin, la présence d’une bande sonore qui réagit en fonction des émotions des personnages permet de matérialiser « les tempêtes intérieures » qui agissent en même temps que les feuilles qui s’envolent. Ces moments permettent de comprendre la grande agitation qui anime les personnages à certains moments de la pièce. [Extraits des travaux des élèves]© Jessica Calvo Figaro-ci, Figaro-là
Vendredi 6 décembre, le lycée a accueilli “Figaro-ci, Figaro-là”, petite forme issue de la pièce Le mariage de Figaro de Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais, mise en scène : Leyla-Claire Rabih.
La scène d’exposition du Mariage de Figaro a jouée de trois manières différentes. La classe a ensuite rencontré l’équipe artistique à l’issue du spectacle.
Extraits des travaux des élèves dans une prochaine édition.